vendredi 17 juin 2011

Maquettes de la future Gare Routière de Njombé










Voilà à quoi ressemblera notre futur gare routière.



Maquettes du futur Stade Municipal.










Voilà à quoi ressemblera notre futur stade municipal

mardi 14 juin 2011

Voici un article paru Jeudi 9 juin 2011 sur http://afrohistorama.over-blog.com/article-cameroun-affaire-paul-eric-kingue-76152497.html

Mr. Paul Eric Kinguè  
Brièvement                                  
 
           Tout allait bien, dans la commune de Djonbé-Penja au Cameroun dont il était le maire. Les habitants étaient de petits producteurs de bananes. Puis les Autorités ont passé un accord avec une grosse firme française. Les paysans ont été expropriés et engagés comme ouvriers agricoles par cette société, au salaire minimum, pour faire de la culture intensive. Résultat, ces petites gens ne gagnent plus assez pour pouvoir acheter les bananes qu’ils cultivent.
P.E.Kinguè a eu l’audace de demander à cette grosse société de payer les impôts qu’elle devait à la commune, ne fusse que pour réparer les routes défoncées par les camions. Il a refusé de se laisser corrompre par de l’argent qu’on lui proposait à titre personnel, pour fermer les yeux. Ça n’a pas plu, « on » l’a mis hors circuit.
Il a été arrêté et incarcéré pour plusieurs motifs : avoir incité au saccage de la dite exploitation française lors des émeutes de la faim de février 2008, et pour détournement d’argent.
Dans un premier temps, il est jugé et condamné pour le premier motif. Comme il s’agit d’un dossier inventé de toute pièce, il fait appel. Il doit attendre près de trois ans à la prison tristement connue de New Bell pour que débute le procès en appel.
Au terme de cette longue procédure honteusement dilatoire, le procès a donc lieu et, alors qu’il s’achemine logiquement vers un acquittement puisque rien ne peut être retenu contre lui, P.E.Kinguè apprend qu’il vient d’être condamné à dix ans de prison pour le second motif, le détournement d’argent. Il n’était pas au courant de ce procès et n’a jamais été entendu à ce sujet. Il ne s’agit pas d’un détournement d’argent, tout au plus de (petits) frais d’organisation de la cérémonie de sa prise de fonction : on lui reproche de n’avoir pas appliqué la procédure (ce qu’il conteste d’ailleurs), une simple affaire de paperasse qui porte sur un montant de 2000€. Dix ans… ! 
Ce serait risible si ce n’était tragique.
On a bien compris la manœuvre. P.E.Kinguè doit maintenant faire appel puis attendre le temps qu’il faudra, toujours en prison dans les conditions qu’on imagine, pour que ce deuxième procès commence. Et ça… ça peut durer !
 
Concrètement, que faire aujourd’hui ?
 
Par humanisme, au-delà de toute considération politique, ethnique ou religieuse, nous sommes révoltés par cette injustice flagrante faite à Paul-Eric Kinguè. Il ne demande qu’une chose : être jugé équitablement et dans un délai raisonnable par la Justice de son pays, comme tout citoyen camerounais en a le droit dans un état qui se dit « de droit ». Est-ce trop demander ?
Si, comme nous, l’affaire Kinguè vous révolte, quelle que soit votre sensibilité ou motivation, rejoignez notre groupe de soutien. Nous l’avons créé pour que la communication soit possible entre nous, même sous couvert d’anonymat pour ceux qui le souhaitent. Notre but est aussi de coordonner les initiatives individuelles afin d’éviter d’éventuelles maladresses et d’augmenter leur efficacité.
Comme lui, nous voulons que justice soit faite.
 
Contactez : HUBERT de Luxembourg 
 
Une injustice commise quelque part est une menace pour la justice dans le monde entier. [Martin Luther King]
Retrouvez cet article en suivant :

lundi 13 juin 2011

Yves Simplice Mboussi : ‘’ j’ai besoin des nouveaux défis ‘’

Yves Simplice Mboussi : ‘’ j’ai besoin des nouveaux défis ‘’ 
  
Parti du Cameroun pour l’Italie, le jeune défenseur Camerounais se trouve en ce moment du côté de la Hongrie après être passé par la Suisse. Titulaire dans l’équipe de première division Hongroise Nyiregyhaza Spartacus, le joueur polyvalent progresse sans cesse et souhaite connaitre autre chose dans les prochains mois. Kamerfoot.com est allé à la rencontre de ce jeune Camerounais qui porte très haut le drapeau du pays en Hongrie.
 

Les amateurs de football au Cameroun ne vous connaissent pas beaucoup. Pouvez-vous nous parler de vous ?

Je suis Yves Simplice Mboussi. Je suis né dans le Littoral du Cameroun, plus précisément à Njombe. C’est dans cet arrondissement que j’ai commencé à jouer au ballon comme tous les enfants de mon âge. A 15 ans, je pars pour Douala chez mon oncle où j’intègre le centre de formation « Daoula FC » pour une durée d’un an. L’année d’après, je m’entraîne avec le Pelican Fc à Yaoundé. Ainsi je ne suis pas connu du grand public camerounais tous simplement parce que je n’ai pas joué au pays à un haut niveau car l’année qui suivait, je suis parti pour l’Italie où j’ai rejoins l’équipe espoir de la Ternana Calcio club de série B.

Depuis que vous êtes partis du Cameroun, quelle trajectoire a pris votre carrière ? Quelles sont les étapes que vous avez franchies jusqu’à ce jour ?

Ma carrière a eu une trajectoire en dents de scie. Après que mon test eu été déclaré concluant à Ternana, je fus frappé par la loi Bossi et Fini qui ne permettait plus aux clubs de série B d’engager un extra communautaire. Je fus donc contraint de partir pour la Suisse, dans un club de D2 nommé Bellinzona Calcio et aujourd’hui je suis en Hongrie dans le club de première division qui se nomme Nyiregyhaza Spartacus FC. Je reste confiant car nul ne sait de quoi est fait le futur.

Quel est le niveau du championnat dans lequel vous évoluez ?

Le championnat hongrois a un niveau moyen. Ce n’est certes pas le très haut niveau, mais celui du championnat hongrois est assez acceptable. 

Quelle comparaison technique avec le championnat du Cameroun ?

Il n’y a pas de comparaison à faire car ce championnat est professionnel tandis que celui du Cameroun ne l’est pas du tout. Ici tout va vite, aussi bien techniquement que tactiquement. Il n’y a vraiment aucune comparaison possible. 

Qu’est ce qui a guidé votre choix d’évoluer dans ce championnat hongrois ? Est-ce l’aspect financier ou tout simplement le sportif. Expliquez-vous ?

Apres la Bellinzona, j’ai eu cette possibilité d’évoluer en première division dans un championnat du même niveau que celui de la Suisse, mais avec la garantie d’avoir un temps de jeu plus élevé. Ce qui m’a permis de me valoriser sur le marché et accéder au plus haut niveau dans mon job. Cela me va bien.

Quels sont les rapports que vous entretenez avec les autres Camerounais qui évoluent dans ce pays ?

Nous vivons comme des frères ici. Tout va bien avec les Camerounais que j’ai trouvés ici et qui m’ont grandement aidé à m’intégrer. Je suis simplement un peu orphelin car mes potes Sadjo Haman et Dorge Kouemaha ont quitté ce championnat. 

Avez-vous déjà été victime de racisme dans ce pays ?

Le racisme fait partie de notre quotidien à nous les footballeurs africains. Mais ça ne nous empêche pas d’avancer.

Lorsqu’on évolue dans un championnat avec un niveau comme celui de Hongrie, pense-t-on à la sélection nationale ?


Bien sûr qu’on y pense. Ce championnat regorge de plusieurs internationaux. Donc, évoluer ici ne m’enlève pas le droit de servir mon pays. Ce d’autant plus que nous avons des moyens footballistiques pour le faire. 

Simplice Mboussi


Pensez-vous réellement avoir le niveau pour évoluer avec les Lions ?

Oui je pense et je travaille pour pouvoir servir mon pays. Vous savez, des talents on en trouve partout, pas seulement dans les championnats les plus médiatisés. Si tel était le cas, on ne viendrait jamais chercher un joueur dans Panthère du Ndé (rires). Donc, comme on dit au pays, le ballon ce jour à terre.

Vous informez-vous de ce qui se passe au pays, notamment en ce qui concerne le championnat national ?

Oui par le site Internet www.camfoot.com et désormais sur le site www.kamerfoot.com que j’apprécie beaucoup.

Combien de temps comptez-vous rester en Hongrie ? Est-ce juste un tremplin ou alors c’est le championnat où votre niveau vous permet de jouer ? 

C’est juste un tremplin, question de pouvoir me faire connaître du grand monde du football mondial.

Quelles sont vos ambitions sportives pour les années à venir ?

Encore six mois j‘espère, car je devais partir cet été mais cela n’a pas pu se faire. J’espère donc que l’année prochaine je vais pouvoir partir car j’ai besoin des nouveaux défis.Retrouver un championnat de haut niveau, faire découvrir au monde du foot qui je suis dans ce domaine et surtout intégrer la tanière des Lions indomptables si l’occasion m’est donnée.

Simplice Mboussi


Quels sont vos hobbies en dehors du football ? Qu’est ce que vous aimez en dehors du football ?

La musique, les ballades et le cinéma

Etes-vous un cœur à prendre ou avez-vous déjà trouvé l’âme sœur ?

J’aime une fille qui est encore au pays.

Quelle place occupe la famille dans votre vie ?

La famille occupe la première place dans ma vie et dans mon coeur. C’est mon leitmotiv, ma source d’énergie.

Et les amis ?
 
Les amis occupent une place importante dans ma vie.

Qu’est ce que vous aimez manger ?

Du Kepen ke Base avec du Pengalingan (couscous de mais avec les feuilles de gombos).

Propos recueillis (via internet) par Jean Fontcha à Yaoundé

Repères

Nom : Mboussi
Prénoms : Yves Simplice
Poste : défenseur central – milieu défensif
Date de naissance : 30-05-1987
Poids : 80 kg
Taille : 1 m 88
Parcours
1998-2003 : Ecole de football Jeunesse de Douala
2003-2005 : Ecole de Football Pellican de Yaoundé
2005 -2006 : Associazione Calcio Bellinzona (Suisse)
2006-2007 : Associazione Calcio Bellinzona (Suisse)
2007-2009 : Nyiregyhaza Spartacus (Hongrie, D1)

jeudi 9 juin 2011

pourquoi toujours Njombé !!????



















Sir Négrion; voilà quelques uns des clips.

Sir Negryon - mes larmes




sir negryon - feat ousmy (kamerunègre)




Sir negryon - faut l’œil 2 député



Sir negryon - Njombé must change




Sir négryon - Françafrik



Sir nédryon - flow

Retrouvez le sur youtube en cliquant sur ce lien http://www.youtube.com/results?search_query=sir+negryon&aq=0&oq=sir+neg  
Encourageons nos frères .

Il est la fièrté de toute une population son nom, son histoire vous est racontée.

sir negryon

Pochette de L'Album
 
             SIR NEGRYON / ARTISTE RAPPEUR c'est dans les années 1993 que le jeune afrik'1 se voit attité par le hip-hop ( le RAP). Né dans une zone bananiere de la region du littoral (njombé) à quelques kilometres de DOUALA le jeune rappeur s'achete pour sa premiere fois le NAUGHTY BY NATURE qu'il interprete de temps à autre dans les concerts scolaires 1994-1995 . Entre (NAS, LA CLIQUA , AKTIVIST, FUNKY FAMILLI) SALAZAR comme il se faisaits appéllé dans ces années là, pense à affuté sa plume et de se fait il forme en 1997 le groupe P.V.V.(possi vice-versa) avec ses freres NJOMBE (big consta jam) mais le groupe n'alla pas loin car l'esprit était à l'épok tres different. Sa vision de vite grandire le hante les pensées. 1998 IL écrit son premier texte (loin des miens) car ses parents ne pouvant plus lui payer ses études ,le jeune afrk'1 lache enfin son sport favoris le basketball c'est l'envol du RAP faire de çà un véritable métié.En 2000 le mec s'enva à DOUALA pour etre en contact avec ce qui l'à fait connaitre ce monde merdik.la meme année il intèrgre le POSSITIF FLY avec mark missil..... prémier passage téléviser sur CANAL2 INTER.Puis des passages à SWEET FM , RTM,.. en 2003 le mec s'envole à YAOUDE pour ce faire un nom dans le KAMER RAP mais la dûr réalité de YAOUNDE affiche une autre couleur du hip-hop. faisant la connaissance de BASHIRU qui l'aurianta chez DJ STRESS patron du label de DARKSEL RECORDS ou il enregistra son premier texte solo en feat avec DJ STRESS. 2004 IL CONTINU à faire valoir son flow chez G-muzik. IL FAUT AUSSI signalé que le jeune rappeur appartenait à un collectif de rappeurs du quartier (AKWA) "supreme akwa" de DOUALA. Formé par les menbres du groupe SALAKA entre 2005 et 2006 le mec se tape des passages à la FM 105 et un passage à la télévision nationale (C.R.T.V) dans lémission "AVENIR" puis en 2007 il est invité par DANYA pour l'anniversair pour les cops dabor sur FM 94 ou il presta au CCF de YAOUNDE. FIN 2007 il rentre dans son bled natal (NJOMBE) pour faire une compile avec ses jeunes qu'il à lui meme former au fil des temps. "Mc VISION-NERF" fut le premier album sorti dans le département du MOUNGO qui ne fera pas grand bruit par manque de promo quelques passages à la radio (fm 105) et un passage à STV. Ecoeuré par les émeutes qui ont éclatés au KAMERUN en fevrier 2008, Mr negryon s'en alla au pays voisin (GABON) pour voir sa fille mais tout ne se passe pas comme prévu car aubout de 5 mois le Mc se fait incarseré pour manque de papiés. Liberer 5 jours plus tard il décide de rentré chez lui pour mettre fin à son reve mais ses proches l'encourage de donner une chance à son tallent apres queques temps d'inactivité, le rappeur affronte le monde et ses miseres. grace à son oncle il s'envola pour le sénégal ou il réside jusqu'à nos jours. Faisant la connaissance de DIDIER AWADI et le POSITIF BLAK SOUL, la surprise de la presence du fils (laurent LUMUMBA) et celle de (blandine SANKARA). Actuellement sur youtube le Mc fait tourné ses ziks et ses clips sur le net. EN Attendant les jours de gloires, et l'avenue d'1 producteur, le jeune rappeur continu son parcours dans cette afrik ou le reve est un pêché devant la dûr réalité.

Rencontre avec un géant du Hip-Hop Afikain

Pour plus d'infos sur ton rappeur suis le lien sis join.